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l'actu de la semaine

Il y a eu relâche...

27 Avril 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

Une fois n'est pas coutume ! Voilà près de 2 semaines que je n'ai pas publié d'articles sur mon blog. Juste l'occasion de prendre quelques jours en famille.

La semaine dernière a pourtant été assez riche en événements locaux et départementaux.

Les pompiers à l'honneur.

Mercredi 20 avril, Le chef de centre des pompiers de Villaines-la-Juhel accueillait le Colonel MORIN, directeur du service départemental d'incendie et de secours de la Mayenne (SDIS), ainsi que ses adjoints et les élus locaux pour saluer l'arrivée depuis quelques semaines de deux matériels importants pour des pompiers.

Il s'agit d'un VSAV (véhicule de secours et d'assistance aux victimes), en fait une ambulance rouge, comme vous les voyez à chaque intervention sur la voie publique ou chez l'habitant. Fait marquant, pour la première fois depuis très longtemps, ce matériel est arrivé neuf ici à Villaines-la-Juhel. Cela peut vous surprendre que j'y voie un événement particulier. Pourtant la règle couramment pratiquée est que les engins soient d'abord mis en service dans les plus grands centres, avant d'être affectés par "glissement" vers des centres de moindre importance.

Vous comprenez que ce choix d'attribuer une ambulance neuve, dont le prix avoisine les 65 000 € à Villaines-la-Juhel montre le rôle prépondérant que joue notre centre des pompiers. Il est vécu aussi, et c'est normal, comme une reconnaissance du travail des 32 volontaires qui sont à même de "l'armer".

Le deuxième véhicule qui est arrivé en mars, n'est pas neuf, mais il est très récent, puisqu'il nous arrive de CRAON, après seulement 3 années de service. Il date de 2007. Il s'agit cette fois d'un fourgon pompe-tonne, autrement dit un gros camion, équipé de tous les systèmes d'extinction des feux et d'une réserve d'eau de première intervention de 3500 litres.

Le prix commence à donner le vertige puisqu'il faut compter 190 000 € par engin.

Vous le voyez, les investissements sont considérables pour la sécurité des personnes en Mayenne, et tout particulièrement dans notre secteur du Nord-Est du département. Je vous rappelle que le financement du fonctionnement de ce service d'incendie et de secours (SDIS) est assuré pour près de 55% par le Conseil Général, et 45% par les communes ou communautés de communes. L'investissement est porté presque exclusivement par le Conseil général qui a décidé cette année de consacrer 2 millions de plus à ce domaine.

Un nouveau conseil d'administration au SDIS 

Comme après chaque élection, le conseil d'administration du service départemental d'incendie et de secours doit réélire son président et les membres du bureau.

Ce fut donc le cas en Mayenne comme ailleurs, vendredi dernier, 22 avril.

La présidence est toujours assurée par Jean ARTHUIS, Président du Conseil Général. La première vice présidence est occupée par Marie-Cécile MORICE, la deuxième par Olivier RICHEFOU et j'occupe désormais la troisième vice présidence, étant plus particulièrement chargé du volontariat qui, je vous le rappelle, compte un effectif de 1400 personnes répartis dans les 49 centres Mayennais.

Transparence.

Dans un article précédent je faisais état de mes émoluments de Conseiller Général. Je dois donc rajouter à cela une indemnité perçue au titre de ma fonction de vice président du SDIS qui s'élève à 485 € bruts, soit 425 € nets.

Ce n'est pas une nouveauté, puisque je percevais déjà cette même somme dans le mandat précédent.

Eclats de voix, pieds dans le plat, et crise de nerfs...

La semaine dernière n'aura pas laissé que de bons souvenirs dans notre secteur.

En effet, samedi avait lieu l'élection du nouveau président de la communauté de communes des Avaloirs, après le décès, en exercice, de Fernand LEBLANC.

Permettez-moi d'abord de rendre hommage à cet homme courageux, lucide et posé. Il fait partie des toutes premières personnes que j'ai eu le plaisir de rencontrer à mon arrivée en Mayenne, en 1984. Il était déjà maire. C'est dire l'importance de son engagement au service des autres.

Son action à la tête de la communauté de communes depuis sa création aura permis d'y trouver une cohérence bien nécessaire pour affronter les défis qui s'annoncent.

Voilà pourquoi, je peux dire ici que j'ai été choqué par les propos du maire de Pré en Pail parus dans la presse. Il me semble que ceci n'est pas de bon aloi.

Je félicite Michel LAMBERT qui a assuré la présidence par intérim pendant la maladie du Président et qui tout naturellement, a été choisi par ses pairs pour conduire la destinée de la communauté de communes sur les 3 ans de cette fin de mandat.  Son rôle sera peut-être plus important qu'il n'y parait, parce qu'il va s'agir d'imaginer l'intercommunalité de demain. Je sais son ouverture à l'idée d'un travail avec les communautés voisines. C'est de bon augure pour l'avenir du secteur. 

 

 

 

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Intercommunalité : Les travaux continuent.

15 Avril 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

Je l'évoquais dans un article précédent sur l'organisation territoriale, 2011 sera l'année de la définition du nouveau paysage des communautés de communes en Mayenne, et ailleurs.

Cela passe entre autre par la mise en place de la commission départementale de coopération intercommunale, présidée par le Préfet du Département.

C'est maintenant chose faite, et cette commission a commencé son travail ces jours-ci.

Il en ressort déjà une proposition d'un schéma d'organisation qui devrait permettre des regroupements, mais aussi des séparations pour certaines communautés de communes de petite taille qui seraient "éclatées" dans deux directions.

Concernant notre secteur du Nord-Est Mayennais, nous ne serions pas très loin l'ancien Haut-Maine et Pail, qui regroupait, je vous le rappelle, les cinq cantons de Couptrain, Le Horps, Lassay les Châteaux, Pré en Pail, et Villaines-la-Juhel.

La réflexion doit se poursuivre. Le Préfet consulte beaucoup, mais il va de soi qu'une bonne organisation est d'abord une organisation choisie et assumée par ceux et celles qui doivent la faire vivre.

Ici, justement il peut y avoir quelques réticences, ou quelques craintes, mais d'une manière générale, j'entends des avis assez convergents chez les élus des deux communautés de communes des Avaloirs et de Villaines-la-Juhel qui pourraient avoir un destin commun.

Du côté de la Communauté de communes de Lassay/Le Horps, la discussion peut être plus intense, puisqu'elle fait partie de ces communautés de communes qui pourraient être amenées à se scinder en deux, une partie vers Mayenne, une partie vers Villaines, mais là encore, il est important que chacun se sente bien dans son choix.

Une longueur d'avance en Mayenne. 

Sur ce plan de l'intercommunalité, la Mayenne est loin d'être la dernière de la classe. J'entends que certains départements ont encore un nombre assez important de communes qui n' adhérent à aucune intercommunalité. D'autres, c'est le cas de L'Orne, par exemple, ont des communautés de communes de petite taille, quelquefois, même inférieure à 2000 habitants. Ces territoires vont se trouver confrontés à une obligation de regroupements pour atteindre le seuil minimum imposé par la loi, de 5000 habitants. Certains "mariages" risquent dans ces conditions de n'être que de raison, et vont sans doute bouleverser un peu plus la vie des communes qui les composent.

Et les communes nouvelles ?

L'idée est intéressante. Il s'agirait d'une vraie fusion de plusieurs communes, qui du coup disparaîtraient pour n'en former qu'une. A l'échelle de notre canton, cela pourrait être, soit une fusion de 3 ou 4 communes entre elles, soit une fusion de l'ensemble des communes. Pour l'instant, cette hypothèse n'est restée qu'à l'état de discussion, mais les esprits peuvent encore évoluer. Une telle fusion n'exclurait pas d'ailleurs l'appartenance à une communauté de communes. Elle en faciliterait même la représentation au sein des instances responsables de cette dernière.

Vous le voyez, le chantier est ouvert.

Si cela peut être source d'incertitude, voire d'inquiétude pour certains, c'est aussi une formidable occasion de préparer nos collectivités à affronter les défis qui les attendent pour servir leur population dans les décennies qui viennent.

 

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Le conseil général de la Mayenne en ordre de marche !

9 Avril 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

Cela peut paraître long, mais il aura fallu 15 jours pour que l'ensemble des responsabilités et délégations soient réparties entre les conseillers généraux au sein de notre assemblée.

C'est maintenant chose faite !

La session qui s'est tenue hier était aussi l'occasion de fixer, comme à chaque début de mandature, le montant des indemnités des élus. De mon côté, je profite de cette décision pour rappeler la somme que je perçois pour cette fonction qui, soit dit en passant, m'accapare à plein temps, d'autant que chaque déplacement nécessite au minimum 2h15 de voiture.

Etant membre de la commission permanente, le montant de mon indemnité mensuelle s'élève à 2090,81€ bruts, soit 1745,70 € nets

Des discussions houleuses !

Je vous avais prévenu, il pouvait y avoir quelques postes qui soient plus disputés. 

Ce fut le cas à propos du syndicat mixte GIGALIS. 

L'enjeu est fondamental pour nous sur les trois ans qui viennent. Vous savez que nous avons décidé au budget primitif de cette année, de lancer un vaste programme d'investissements pour couvrir la Mayenne en très haut débit, et donc à partir de la fibre optique.

IL était donc indispensable, dans ces conditions, que le Président de la commission "aménagement des territoires" assure lui-même la représentation du Conseil général dans GIGALIS.

Alors que les désignations se faisaient de manière consensuelles, et malgré des tractations préalables, Y. CORTES a souhaité maintenir sa candidature, face à Philippe HENRY, imposant ainsi un vote. Philippe HENRY a recueilli la majorité, dès le premier tour.

 

Sur de tels enjeux, la cohérence doit être la règle.

Nous allons donc, à l'échelle du département de la Mayenne, et au delà de cet épisode tragi-comique, poursuivre le travail du comité de pilotage qui a conduit à l'élaboration du schéma directeur de l'aménagement numérique (SDAN).

Depuis sa création, je siège dans cette instance dans laquelle nous sommes 5 Conseillers généraux. J'y ferai valoir les besoins des entreprises, des particuliers, et évidemment, je n'oublierai pas le Nord-Mayenne... 

 

Pour les autres désignations, il n'y a pas eu de changements notables, me concernant.

Je siègerai toujours au comité départemental du tourisme, même si à titre personnel j'aurais volontiers laissé ma place, mais je suis le seul professionnel du tourisme, alors...

Je reste également au SDIS (les pompiers), au parc Normandie-Maine, au CDEN (éducation nationale), et dans une bonne dizaine d'organismes.

De quoi couvrir un très large spectre de l'intervention du Conseil général, sur le canton de Villaines-la-Juhel et au delà, bien sûr.

 

 

 

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Une fumée blanche...

31 Mars 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

C'était sans suspense ! L'élection du Président du Conseil Général a eu lieu, comme partout en France, ce matin, dans l'hémicycle de notre assemblée départementale à Laval.

Jean ARTHUIS a retrouvé sans difficulté son siège qu'il occupe depuis 1992, avec 26 voix sur les 32 élus.

Année après année, la Mayenne semble  s'affranchir des querelles politiciennes nationales. Il faut dire que la politique menée par le Président provoque rarement l'ire de l'opposition, même si chacun adopte la posture qui lui revient dans ce genre d'exercice.

Finalement, c'est sans doute la composition du reste de la commission permanente et les différentes responsabilités au sein des commissions de travail qui  intéressent les observateurs éclairés que vous êtes.

J'ai noté d'ailleurs avec une certaine surprise, que ces questions vous préoccupaient, et j'en suis ravi.

Mon épouse qui faisait ses courses cet après midi à Villaines-la-Juhel a été interrogée à plusieurs reprises par des personnes qui certes, suivent l'actualité politique, qui voulaient connaître en "exclusivité" la place de leur Conseiller Général. Et de mon côté, j'ai eu quelques coups de fil. Signe de l'intérêt pour la politique.

Peu de choses ont changé pour moi.

Comme prévu, et à la demande du Président du Conseil Général, je garde la Présidence de la commission "Transport et Mobilité", accompagné de 2 vice présidents de commission.

Elle compte maintenant 9 membres  contre 7 auparavant.

La principale nouveauté, c'est mon entrée dans la commission "environnement et gestion des risques" qui inclut désormais la sécurité civile, autrement dit, le service d'incendie et de secours.

J'avais jusque là renoncé à participer à cette commission, ce qui ne m'empêchait pas d'avoir un avis sur la question environnementale, vous vous en doutez bien. Mais d'une part, Gérard DUJARRIER, qui va en assurer la présidence, après Gérard LEMONNIER, souhaitait que je le rejoigne en appui sur des dossiers comme l'énergie, la biodiversité, etc... et d'autre part parce que la sécurité civile vient d'intégrer cette commission. Or, vous savez mon attachement aux pompiers. Je pourrai donc poursuivre l'action que j'ai engagée au SDIS dans d'excellentes conditions.

La troisième commission à laquelle j'ai obtenu de participer, est celle de "l'aménagement des territoires" présidée par Philippe HENRY, et qui traite, des routes, des infrastructures de transport, en particulier de la LGV avec les aménagements de la gare de Laval, et aussi du très haut débit. Je suis membre de cette commission depuis mon entrée au Conseil général, mais les places y sont chères...

Enfin, j'ai retrouvé comme prévu également, une place de vice-président du Conseil Général. Je suis 7 ème vice président.

Prochaine étape, le 8 avril.

Nous nous réunirons en effet à nouveau dans un peu plus d'une semaine pour désigner tous les représentants dans les différentes instances départementales. Un exercice plus facile que celui d'aujourd'hui, même si quelques délégations sont très convoitées.

Je vous rappelle que notre groupe " la Mayenne ensemble", composé des non-inscrits et de l'alliance centriste, est le groupe majoritaire  avec 18 membres, alors que l'UMP compte 8 membres, et la gauche unie 6. De quoi peser suffisamment tout en gardant une ambiance très respectueuse de la diversité.

 

 

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Elections cantonales : Surprises, surprises...

22 Mars 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

Nous le pressentions, ce scrutin des cantonales n'a pas mobilisé les foules.

Est-ce à dire que le Conseil Général n'intéresse pas les électeurs ? Ce serait aller vite en besogne. Que les citoyens n'y voient pas très clair dans la répartition des compétences des différentes collectivités et dans les perspectives d'avenir des Conseils Généraux, est sans doute une réalité !

Qu'ils aient eu l'impression, après quelques débats sur les conseillers territoriaux sensés remplacer les conseillers généraux en 2014, que cette élection ne servirait pas à grand chose, est une possibilité.

Qu'au surplus, cette élection qui ne concerne que la moitié des cantons soit organisée seule, alors qu'auparavant elle était couplée à l'élection des conseillers régionaux, et voilà toutes les raisons d'une démobilisation des électeurs déjà enclins depuis quelques années à bouder les urnes.

Pas surprenant alors que plusieurs cantons de la Mayenne n'aient pas retrouvé leur conseiller général au premier tour alors que ce dernier dépassait la barre des 50% des votants. La règle nouvelle imposait pour être élu, de dépasser aussi le chiffre de 25% des électeurs inscrits.

Mais il y a eu malgré tout quelques surprises !

Je vous le prédisais lors de mon précédent billet. Cependant, comme toutes surprises, je ne les avais pas prévues là où elles sont venues.

 Je n'imaginais pas par exemple un score si faible pour le conseiller sortant sur le canton de Mayenne-est.

Au regard du résultat sur le canton voisin de Mayenne, il y a évidemment là, un effet spécifique.

 Conjugué au faible taux de participation, le chiffre  qui me laisse pantois, c'est que 10 000 électeurs sur les 11 700 du canton ont boudé le sortant.

Et nous retrouvons cela ailleurs, dans la "majorité départementale" comme chez la "gauche unie".

J'ai noté aussi des scores extrêmement faibles de certains(es) élus(es) conseillers régionaux(ales) qui n'atteignent pas les 3%, ce qui interpelle quant à la représentativité de ces personnes là où ils siègent.

Sur le plan politique, la Mayenne semble se distinguer.

Peut-être sommes-nous assez peu nombreux dans ce cas là, mais notre département est conduit par une équipe qui mérite complètement l'appellation de "majorité départementale" sans que l'on puisse nous taxer de "suppos" du pouvoir national.

Dans la mandature précédente, nous étions 13 sur sur 32 à n'être encartés dans aucun parti, et chacun sait que les sensibilités de politique nationale vont chez nous du centre-gauche au centre-droit.

Les candidats, à l'exception de 4 sur les 17, sont dans la même configuration.

Ceci explique peut-être en partie la bonne tenue de notre groupe alors que la politisation a été quasi générale dans les autres départements.

Prochaine étape dimanche :

Sur les onze sièges qui restent à pourvoir, nous pouvons encore avoir des surprises, mais notre groupe majoritaire qui comptait jusque là les 4 élus "alliance centriste" et les 13 non-inscrits, peut légitimement espérer retrouver une situation identique, voire plus.

Il nous reste 3 ans avant un changement important au sein de notre institution. Dans cette période, nous avons besoin de conforter la Mayenne pour qu'elle puisse entrer suffisamment forte dans le grand bain régional, si toutefois, la loi portant réforme des collectivités territoriales abouti avant 2014. 

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Cantonales : Beaucoup d'incertitudes !

18 Mars 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

Incertitude d'abord concernant le nombre de votants pour une élection que les citoyens ont quelques fois des difficultés à situer.

Et pour cause, seulement un canton sur deux est concerné par cette échéance dans chaque département.

Les choses sont tellement peu claires que nombreux sont ceux qui à Villaines-la-Juhel, nous demandent s'ils doivent voter dimanche, alors que notre canton ne fait pas partie des cantons renouvelables.

Alors évidemment, à l'inverse, les habitants des cantons concernés peuvent avoir un doute.

Mais l'incertitude portera aussi sur le résultat.

En Mayenne, il n'y a quasiment pas de risque de changement de majorité. Ce qui n'empêche pas quelques surprises, dans un sens comme dans l'autre.

Une campagne sobre !

Outre les réunions organisées par chaque candidat, les distributions de tracts et autres affiches, les médias ont donné la parole aux différents courants présents dans la campagne.

Bien que n'étant pas personnellement candidat, j'ai eu l'occasion de participer à un débat sur France Bleue Mayenne mardi dernier à 18h en face de Michel ANGOT, Maire de Mayenne et candidat à sa succession au Conseil Général.

Nous avions à traiter du transport et des déplacements, d'ou ma présence dans cette confrontation.

Comme dans d'autres domaines, le représentant de la "gauche unie" a clairement dit son approbation quant au fonctionnement du Conseil Général de la Mayenne sur la question des transports. Ce qui montre que quand nous avons un débat local, les différences entre nous sont minimes.

Vous pouvez d'ailleurs réécouter l'enregistrement sur le site de France bleu Mayenne.

Puisqu'il s'agit d'un scrutin à deux tours, seuls quelques cantons seront pourvus dimanche soir. Nous devrons donc attendre le 27 mars pour connaître l'ensemble des Conseillers Généraux qui nous rejoindront au sein de l'Assemblée Départementale.

Ce n'est qu'à l'issue de ce dernier vote que nous saurons la place des forces en présence.

Nous nous réunirons donc le jeudi 31 mars (date unique pour tous les départements) pour élire le Président, les vice-présidents et voter la composition des commissions d'études du Conseil Général.

Ensuite, nous serons à nouveau convoqués le 08 avril pour la désignation des représentants du Conseil Général dans les différentes instances départementales ou régionales.

La particularité de cette nouvelle mandature reste quand même le fait qu'elle est sans doute la dernière sous la forme ou nous la connaissons depuis 1982.

Les élus du prochain scrutin savent d'ailleurs que leur mandat ne devra durer que 3 ans. La prochaine échéance de 2014 concernera l'ensemble des cantons, et encore puisque la loi prévoit de passer en Mayenne de 32 cantons à 18.

Mais les choses peuvent encore changer. D'ici là, il y aura 2012 !

 

 

 

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Catastrophe"S"...

13 Mars 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

La nature peut être terrible !

Les Japonais connaissent actuellement des moments extrêmement difficiles, et nous ne pouvons que compatir à leur situation et au drame qu'ils vivent.

Pays moderne et développé, le Japon a depuis longtemps intégré les risques liés aux tremblements de terre sur les constructions et les infrastructures. Nous voyons d'ailleurs, qu'en dehors du tsunami, qui était beaucoup plus imprévisible et impossible à contenir, les dégâts ont été limités.

Pourtant, une autre catastrophe est peut-être devant nous et surtout devant les Japonais eux-mêmes. Elle est cette fois, l'oeuvre de la main de l'homme.

Loin de moi l'idée d'une dramatisation, et je souhaite que les scénarios évoqués par les responsables nippons sur le devenir des centrales nucléaires touchées par la vague géante ne se concrétisent pas, mais chacun comprend que le risque est grand, et que sa survenance ou non ne dépend plus vraiment des ingénieurs qui sont sur place.

Alors que nous avons à faire à un pays organisé, alors que toutes les précautions semblaient avoir été prises, nous voilà tous, les yeux rivés sur Fukushima, ville qui nous était jusqu'à hier, totalement inconnue.

De tels événements, si dramatiques pour les populations qui se trouvent à proximité, sont aussi entrain de bouleverser le paysage énergétique planétaire.

Parce qu'il y aura, quoi qu'il arrive dans les jours qui viennent, et je le répète, je souhaite de tout coeur que l'accident survenu sur un des réacteurs nucléaires n'aille pas au-delà, il y aura en effet, une obligation  de réflexion sur ce que l'on appelle peut-être abusivement la "sûreté nucléaire".

13 mars 2000, une date qui a marqué la Mayenne :

Coïncidence presque troublante, nous étions réunis vendredi soir à Bais en Mayenne, pour fêter le onzième anniversaire du "renvoi de la Mission granite" alors que les premières informations nous arrivaient du Japon.

Une bonne centaine de personnes étaient présentes pour entendre Didier ANGER, cet homme de la Hague qui, à 72 ans aura passé sa vie d'adulte à combattre le choix énergétique nucléaire de la France.

Je ne vous cache pas que bien qu'ayant participé chaque année à cette cérémonie anniversaire, j'ai quelques fois été envahi par le doute et le découragement face aux pratiques du lobby nucléaire qui semblait tout puissant, allant jusqu'à infiltrer les associations locales anti-éoliennes pour dénigrer toute alternative même modeste au nucléaire.

Alors que ce combat contre le tout nucléaire dans la production d'électricité en France, nous mettait souvent dans le rôle peu enviable des écolos purs et durs, il aura fallu seulement quelques minutes d'un tremblement de terre, pas banal j'en conviens, suivi d'un tsunami, pour tout remettre en cause.

Parce que le nucléaire est une technologie formidable... Elle produit de l'énergie, sans carbone... Une aubaine face au réchauffement climatique. Seulement voilà, au-delà du caractère extrêmement coûteux de ce procédé, elle n'a toujours pas résolu la question de la gestion de ses déchets, et surtout, nous le voyons aujourd'hui, elle peut s'avérer très dangereuse.

 Puisque unanimement, nous rejetons l'idée du remplacement des centrales nucléaires par des centrales thermiques, au fioul, au gaz ou au charbon, nous voilà confrontés plus encore qu'avant, à la nécessité d'une double réflexion en faveur des économies d'énergie et bien sûr, des énergies renouvelables alternatives.

La Mayenne va résolument dans cette direction depuis quelque temps. Les arguments fallacieux des opposants à ces nouvelles sources d'énergie risquent de ne plus peser bien lourd, tant le danger est disproportionné.

 

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Agriculture : La campagne malmenée !

20 Février 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

Comment comprendre ce titre ?

J'en  conviens, il peut être chargé d'ambiguïté.

S'agit-il de notre verte campagne, ou bien d'une campagne de communication qui semble dénoncer les excès de certaines pratiques agricoles alors que le traditionnel salon de l'agriculture ouvre ses portes ?

Je suis tenté de répondre que les deux lectures sont possibles.

La campagne de communication de FNE (France Nature Environnement, la "maison mère" de MNE) est chahutée, et elle le mérite en partie.

Attaquer les problèmes de pollution des eaux en Bretagne, en stigmatisant la Bretagne toute entière, n'est pas convenable.

Je ne cautionne pas de telles pratiques. Les bretons sont pour la plupart des victimes de cette pollution. En affichant sur tous les murs Parisiens, ce slogan "bonnes vacances" sur fond de côte bretonne souillée par des algues vertes, l'effet est terrible pour les professionnels du tourisme.

Ils ont beau avoir raison concernant les causes de cette prolifération pestilentielle, la méthode est très maladroite.

Par contre, affirmer que nous n'avons pas suffisamment de recul sur les effets des cultures OGM en plein champ, est plutôt une bonne chose. Montrer que ces pratiques s'apparentent au jeu de la "roulette russe" n'est que la vérité.

Voilà comment l'excès peut conduire à décrédibiliser un discours pourtant nécessaire dans notre démocratie.

 

Mais je vous disais que deux lectures de mon titre étaient possibles.

C'est bien parce que notre "verte" campagne aussi est malmenée.

Pendant une semaine, l'agriculture Française va s'exposer à Paris, sur fond de crise profonde dont nous ne semblons plus voir le bout.

A tour de rôle, les productions subissent les aléas du marché ou des conditions climatiques, quand çà n'est pas les deux.

Chaque période de difficultés a au moins un même résultat, c'est la disparition d'une partie supplémentaire des actifs de la production en crise.

A ce rythme, chaque commune ne comptera bientôt plus qu'un seul paysan, et encore.

Pourtant, la concentration, présentée au départ comme une nécessité pour améliorer les revenus des "heureux élus" qui restaient dans la profession n'aura pas permis de sauver grand chose. C'est d'autant plus vrai que nous sommes dans des régions d'élevage.

Certaines matières premières sont rares... et chères.

Et c'est bien l'un des paradoxes.

L'agriculture française perd des actifs, produit toujours plus, du coup elle dégrade l'environnement, mais malgré des prix de certains produits à la  hausse, elle s'appauvrit quand même.

Alors à quoi bon ?

Tout le monde n'est pas perdant...

 

En fait, une partie de l'agriculture profite très avantageusement de la situation de pénurie en céréales au détriment des éleveurs.

Ce qui me surprend le plus dans cette affaire, c'est l'orientation que prennent les revendications des éleveurs qui considèrent que la solution réside dans l'augmentation du prix de  leurs propres produits, demandant aux consommateurs finaux de "payer la facture".

Et si nous mettions tout sur la table ?

Les céréaliers bénéficient d'aides substantielles sous forme de DPU (droits à payement uniques) de la part de l'Union Européenne. Ces aides peuvent atteindre des sommes colossales, dépassant souvent les 200 000 € par an.

Ces subventions avaient une raison d'être au moment où les cours mondiaux étaient très faibles. Mais depuis, nous avons connu des fluctuations importantes, avec une tendance haussière quasi permanente, conduisant les prix des céréales vers des sommets inimaginables il y a encore peu de temps.

 Or, pour le moment, pas une voix (audible) s'élève pour demander une remise à plat de ce système pervers.

Les éleveurs sont-ils bien défendus ?

Le syndicat majoritaire (FNSEA) vient de se doter d'un nouveau président issu des céréaliers. C'est une première depuis très longtemps.

Auparavant, il avait quelques scrupules dans ce domaine. Chacun savait bien que les céréaliers étaient les maîtres du jeu en son sein, mais il se choisissait un éleveur à sa tête. Fini les politesses ! On n'est jamais mieux servi que par soi-même !

Un problème de fond

Cette montée inexorable du prix des matières premières céréalières pose en effet d'autres problèmes de fond.

Elle nous indique d'abord, que nous devrons, que nous le voulions ou non, remettre en cause une partie de notre mode d'alimentation.

Nous le disons depuis longtemps en agriculture biologique, la consommation de viande doit être une consommation occasionnelle. Elle doit privilégier des produits carnés locaux, et issus eux-mêmes d'une alimentation locale.

Qui peut croire encore que nous nourrirons nos vaches, nos cochons, nos poulets avec des produits venant de l'autre bout du monde. Plus jamais nous ne serons compétitifs dans ces systèmes.

Ce n'est pas faute d'avoir alerté le milieu agricole. Mais on nous répondait "emploi", économie de filière etc... Or ces filières sont devenues extrêmement fragiles, et les agriculteurs qui ont cru à ce développement sont maintenant dans un grand désarroi.

Ils le sont d'autant plus que leur métier est devenu tellement encadré par des normes, sanitaires, environnementales... que l'initiative est plus difficile.

L'agriculture est nourricière.

Cette période de début de pénurie, nous le rappelle.

Elle ne peut donc pas être traitée comme n'importe quelle activité économique.

Certes nous ne connaîtrons pas les émeutes de la faim chez nous, pas avant longtemps en tout cas, espérons-le, mais il faut pourtant remettre ces questions de nos manières de produire en agriculture au coeur de notre société toute entière.

Si le nom n'avait pas été galvaudé, je vous aurais suggéré un "grenelle".

Tant pis ! Appelons-le "états généraux", "grand messe", peu importe ! Mais surtout n'attendons pas, parce que le nombre d'agriculteurs continuera de s'écrouler, l'environnement de se dégrader, et nous finirons par risquer la dépendance alimentaire. Un comble dans un pays qui croit encore que son agriculture est exportatrice nette.

 

 

 

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Budget primitif : Fin des travaux, et fin de mandature...

7 Février 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

A deux reprises déjà, la semaine dernière, j'ai pris soin de vous relater les débats de notre assemblée qui étudiait le budget primitif pour l'année 2011.

Si j'en crois la fréquentation du blog ces derniers jours, la vie politique locale et départementale ne laisse pas les Mayennais indifférents, et c'est tant mieux.

Il faut dire que la session aura été particulièrement riche en propositions et en décisions importantes.

Comme je l'indiquais dans l'article précédent, la journée de vendredi nous a permis d'examiner les travaux de la mission "environnement" et en particulier la rapport sur l'énergie. De quoi  m'amener évidemment à y mettre mon "grain de sel".

Si nous regardons objectivement derrière nous, nous voyons aisément le chemin parcouru depuis une dizaine d'années par le Conseil Général dans ce domaine.

Certes, la Mayenne n'est pas le seul département à avoir fait cette "révolution culturelle" en direction des énergies renouvelables et de ce qui s'appelle communément le "développement durable", mais force est de constater qu'elle a fait des bonds en avance substantiels.

Ces choix se traduisent sous différentes formes. Quoi qu'en dise le seul élu "Vert" de l'assemblée, la progression constatée va au-delà de nos espérances. Qui aurait imaginé la suppression totale dès 2009 des herbicides sur le bord de nos routes ? C'est pourtant chose faite, avec en prime, une distinction nationale dont je vous ai parlé en Octobre.

Qui aurait pensé que la Mayenne serait l'un des premiers départements, et peut-être même le premier à instituer des "zones de développement éolien" sur tout son territoire ? Le résultat est tangible !

Il y a bien sûr quelques contestations, mais vous noterez, si vous avez lu la presse quotidienne locale, que tous "bords" confondus, nous avons défendu ce bilan. Le seul pour qui cette démarche ne semble pas avoir trouvé grâce, c'est encore notre ami membre des "Verts".

Ce débat a en tout cas été l'occasion pour moi de rappeler que l'énergie éolienne ne peut en aucun cas être considérée comme  coûteuse pour les Mayennais. Si par votre facture d'électricité, vous versez 1 € par an pour l'éolien, ce qui représente environ 150 000 €, les communes et le département reçoivent près de 500 000 € de taxes payées par les entreprises propriétaires d'éoliennes. Autant de moins à prélever sur nos impôts...

J'ai tenu aussi à évoquer le projet industriel de MPO dans les panneaux photovoltaïques. Tout ceci n'aurait peut-être pas évoluer si vite si le terrain n'avait pas été fertile.

Il faut aussi, à ce stade, rendre hommage au travail qui est fait par les associations, et en particulier à la COEDRA-Maine qui a su transformer son action d'opposition, en action de proposition quand cela se justifie.

 

Ecotaxe Poids Lourds : Du nouveau ! 

 

je vous l'avez dit ! La décision prise en novembre condamnant cette taxe sur le passage des camions de plus de 7,5 t

sur nos routes départementales n'allait sans doute pas tenir longtemps.

J'avais été seul à maintenir ma position favorable à son l'application.

Vendredi, le Président Jean ARTHUIS, a proposé à l'ensemble de mes collègues de revenir sur leur vote.
L'écotaxe poids lourds s'appliquera donc en Mayenne. Ouf ! je me sens moins seul...

 

Vote du SDAN : Les deux pieds dans le 21ème siècle !

 

Encore un sigle ! Il s'agit du schéma directeur d'aménagement numérique, autrement dit, du très haut débit Internet.

Vendredi après le vote de ce schéma, j'ai dit à plusieurs de mes collègues que j'avais le sentiment de participer au moment le plus important de mes 10 années de présence au Conseil Général.

D'abord par l'importance du budget : 50 millions d'euros, ce n'est pas rien ! Et puis par ce que représentera ce changement dans les connexions informatiques.

Nous avions déjà fait un effort considérable en couvrant tous les foyers Mayennais par l'ADSL. Il faut savoir que nous sommes toujours le seul département rural à permettre cela pour 100% de la population.

Mais le très haut débit nous oblige à franchir une autre étape. Il faut passer de la transmission par le fil cuivre de votre téléphone, à une connexion sur de la fibre optique, et donc la mise en place d'une infrastructure nouvelle.

Voilà pourquoi notre décision est une vraie révolution technologique. Voilà aussi pourquoi le montant de l'investissement atteint de tels sommets.

Aujourd'hui le besoin de ce très haut débit n'est pas encore avéré chez les particuliers que nous sommes. Il l'est par contre chez certaines entreprises y compris dans nos territoires ruraux.
Notre choix  pour les années à venir, sera donc de leur permettre cet accès à ce débit de 100 mégabits.

Un vrai  challenge !

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Deuxième jour de session budgétaire : Sans doute des moments clés !

3 Février 2011 , Rédigé par Daniel Lenoir Publié dans #L'actu de la semaine

La journée de demain risque d'être longue.

L'ordre du jour de cette séance budgétaire du Conseil Général de la Mayenne est en effet particulièrement chargé pour la deuxième journée, et les sujets qui font débat, voire même, qui divisent, sont légion.

 

En entrée, nous examinerons les travaux de la mission "environnement et santé publique".

Une mission qui en quelques années, et sous la présidence de mon collègue et ami Gérard LEMONNIER, aura pris du corps.

Au delà des programmes concernant la gestion des déchets et le laboratoire d'analyse, cette mission a produit un travail remarquable en direction de la bio-diversité (nous en savons quelque chose ici avec la Corniche de Pail et le Mont des Avaloirs...), et sur le thème de l'énergie.

Alors que le Conseil Général de la Mayenne ne s'était pas fait remarquer sur ces terrains dans la dernière décennie du siécle précédent, le voilà montré en exemple pour sa gestion des déchets, pour la gestion différenciée des bords de route, souvenez-vous qu'il a été distingué récemment au plan national http://daniellenoir.cg53.over-blog.com/article-la-mayenne-distinguee-pour-sa-gestion-de-la-biodiversite-59972668.html

et pour sa démarche en direction des énergies renouvelables.

A ce dernier titre, nous avons le plaisir de voir progresser le développement des énergies renouvelables, grâce en particulier à la mobilisation du Conseil général.

Ce développement est entrain de prendre une dimension industrielle, avec l'éolienbien sûr, mais aussi avec le photovoltaïque chez MPO et l'utilisation de la biomasse.

 

Mais comme je vous le disais en introduction, ce ne sera que le hors d'oeuvre...

 

L'après midi sera consacrée à l'examen du fameux dossier concernant les aides aux communes et notre intervention sur la couverture Internet avec le NRA ZO.

Puis dans la foulée, la présentation du programme de déploiement du Très Haut Débit.

Ne comptez pas sur moi pour révéler ici le contenu de ces propositions, même si par ma participation au comité de pilotage qui a suivi ce projet j'en ai évidemment connaissance.

 

Cette affaire est suffisamment importante pour que sa présentation publique soit faite de manière officielle et solennelle.

Ce qui me réjouit par contre dès maintenant, c'est que là aussi, le Conseil Général ait pris l'initiative d'être le chef de file dans ce dossier.

j'ai trop entendu depuis quelques mois, certains élus, certains chefs d'entreprise, nous dire leur difficulté à comprendre qui fera quoi sur ce sujet.

A partir demain, nous saurons que le pilote est bien le Conseil Général.

Cela sera, j'en suis sûr, de nature à rassurer les Mayennais.

Regardez donc la presse de samedi, et écoutez la radio. Je ne prends pas de risque en vous disant qu'ils en parleront.

 

 

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